samedi 28 janvier 2017

Insolite : Ce jeune diplômé est embauché en CDI sans piston ni réseau.

L'histoire de ce jeune nantais agite les esprits jusqu'au Ministère du Travail, qui n'a pas encore pu confirmer la nouvelle.
Thibault a 24 ans et est titulaire d'une maîtrise en sociologie. Après un bac sans mention, il fait des études à l'université de Nantes, où il avance de semestre en semestre avec de bons résultats, sans pour autant qu'ils soient exceptionnels.
Après sa maîtrise, il ne peut continuer vers un doctorat, alors il se décide à chercher un emploi. Il rédige un CV sans trop d'expérience professionnelle, mais avec quelques autres activités et centres d'intérêts assez classiques.
Pendant 3 mois il envoie près de 350 courriers motivés dans toute la France. Quelle ne fut pas sa surprise alors qu'après seulement 17 entretiens d'embauche, il est finalement employé en CDI par une société (qui préfère garder l'anonymat, pour ne pas être submergée de demandes), à Nantes!
Ce conte de fée ravit tous ses camarades d'études, et leur redonne de l'espoir, à eux qui n'ont d'autre choix que d'accepter des petits boulots sous qualifiés et précaires.

vendredi 27 janvier 2017

Son stage de 3ème dans la boulangerie de ses parents était fictif, il est renvoyé du collège.


En France, on ne transige pas avec les tricheurs, c'est bien connu. C'est ce qu'a appris le jeune Djézzi, un collégien du département, en rendant son rapport de stage de 3ème.

"Son rapport de stage ne contenait aucune faute d'orthographe, on a tout de suite trouvé cela suspect", a déclaré Isabelle J., son professeur principal lors du conseil de discipline qui a statué sur l'exclusion de Djézzi pour une durée de deux semaines. Il n'a pas été très difficile de montrer que Djézzi n'avait jamais mis les pieds dans la boulangerie pendant cette semaine se stage obligatoire.

La mère du collégien a pourtant essayé de défendre son fils, arguant qu'il l'avait bien assistée à distance, en répondant régulièrement au téléphone du domicile. Mais l'argument n'a pas suffit et Djézzi devra, dès son retour au collège, compenser sa fraude en faisant le service à la cantine pendant quinze jours.

Le directeur de l'établissement a confié qu'il espérait que "cette situation serve d'exemple à tous les fraudeurs, nous voulons des élèves irréprochables. Ici, ce n'est pas l'Assemblée Nationale!"

mardi 24 janvier 2017

Une mesure radicale pour lutter contre la pollution dans la métropole.



Nantes Métropole vient de prendre une mesure sans précédent pour lutter contre la pollution. Celle-ci sera en vigueur toute la fin de la semaine, et devrait être reconduite à chaque nouveau pic de pollution.

Alors que Paris et Lyon distribuent des vignettes pour savoir quels véhicules ont le droit de circuler, Nantes s'attaque au problème à la base et évite de culpabiliser les travailleurs qui n'ont d'autre choix que de prendre leur voiture pour quitter leur campagne, mal desservie en transports en communs.

En effet, toutes les écoles, et les entreprises seront fermées jusqu'à la fin de la semaine, et les automobilistes, invités à rentrer chez eux et à attendre que ça passe. Une telle mesure devrait faire diminuer la pollution de l'air de moitié en moins de 24 heures.

samedi 14 janvier 2017

La campagne choc d'une asso nantaise contre le harcèlement scolaire.



On a vu apparaitre dans la ville des affiches chocs contre le harcèlement scolaire. l'initiative vient d'une association nantaise : la ACHE (Association contre le Harcèlement à l'Ecole).

Elle a utilisé l'idée simple qu'une victime, peut, un jour devenir à son tour bourreau. On retrouve ainsi, avec le portrait de Marine Lepen, la phrase : "A force de tirer les cheveux de la petite blonde du premier rang, un jour elle voudra se venger". Pour Emmanuel Macron, c'est le martyre du premier de la classe ; pour Nicolas Sarkozy, le petit bousculé ; et pour Jean-Luc Mélenchon, le bouc émissaire.

Une campagne qui déplait au plus haut niveau, mais qui a l'avantage d'être efficace!


Ou qui aurait pu... Si vous en êtes à lire ces lignes c'est que vous faites partie d'une minorité de gens qui lisent les articles avant de les partager, "liker", ou commenter sur les réseaux sociaux. Peut-être faites-vous même partie de ces rares personnes qui vont jusqu'à vérifier les infos qu'ils lisent. Dans ce cas félicitations, c'est de plus en plus rare ! L'étape suivante ce serait d'avoir toujours le même sens critique face aux nouvelles, d'où qu'elles viennent. Et si celles que vous lisez d'ordinaire sont vraies, il n'en reste pas moins important de savoir les décrypter et comprendre comment elles vous sont présentées! allez, bonne journée! et sans rancune!

vendredi 6 janvier 2017

Avec 2,8 grammes, il pensait échapper au contrôle car il était à cheval.


La scène s'est déroulée au petit matin à Sucé-sur-Erdre, lors d'un contrôle de police. Un homme d'une soixantaine d'années, sensiblement éméché, circulait sur la départementale 69, visiblement de retour d'une nuit agitée dans Nantes.

Interpelé par la police, il a déclaré "pouvoir diriger son cheval puisque ce dernier n'avait pas bu". Or, le code de la route est formel, s'il est autorisé de circuler à cheval, c'est au cavalier d'être maitre de sa monture. Il n'a certes pas besoin de permis et doit avoir plus de 14 ans, mais il se doit aussi, comme les autres usagers de la route, de ne pas dépasser les taux d’alcoolémie autorisés.

L'homme a été contrôlé avec un taux de 2,8 grammes d'alcool dans le sang et a été placé en garde à vue pour déclaration mensongère, puisque le cheval, lui aussi a été contrôlé positif à divers stupéfiants.