samedi 31 octobre 2015

Ouverture d’une première salle de shoot, Place du Commerce.



La demande était forte de la part des riverains, et leur vœu a été exaucé. Finies les prises de drogue en cachette dans les recoins de la ville, le tout sera maintenant contrôlé dans des salles de shoot.

La première a été inaugurée ce matin par les élus qui ont fait eux-mêmes la démonstration d’une injection sécurisée. Et au sortir de l’inauguration, pas de petits fours, mais des seringues en libre service. Ce fut un grand succès, et tout le monde était même complètement stone, alors qu’il n’était que 10 heures, quand la salle a enfin été libérée pour les utilisateurs. 

La mairie a promis l’ouverture prochaine d’une dizaine de salles de shoot dans les endroits stratégiques de la ville. « Nous voulons que là où il y a des gens qui se droguent, il y ait un lieu où il puissent le faire en sécurité, et pas sous le regard des enfants et surtout des touristes », a déclaré l’adjoint aux stupéfiants. C’est ainsi que les prochaines salles seront ouvertes aux abords de la gare Sud, sur l’Ile de Versailles, ou encore aux Machines de l’Ile.  


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jeudi 22 octobre 2015

Le Carrousel des Machines échangé contre 100 manèges installés partout en ville.



C’est un revirement complet de la politique culturelle qui opère en ce moment au conseil municipal de Nantes. Johanna Roland, non contente de se positionner loin de la « ligne Macron » dans ses dernières déclarations, a décidé qu’il était temps de se démarquer de ses prédécesseurs. Fini le centralisme, il faut du « pour tous » partout, tout le temps, et vraiment pour tous !

C’est ainsi que la centralisation de la vie culturelle nantaise sur l’île de Nantes va prendre fin. Un accord a été signé avec la mairie de New York , qui compte l’installer dans Central Park. Cette dernière rachète le Carrousel pour le prix qu’il a couté à Nantes Métropole (36,5%), la Région (10%), le Département (13,5%), l’Etat (20%) et l’Europe (20%), soit 10 millions d’Euros. La grosse pomme assure également à ses frais le démontage et le transport.

Cet argent, associé à la subvention qui lui est liée, sera immédiatement mobilisé pour installer 100 manèges partout en ville. Il finance également le coût d’entretien des 3 premières années, salaires compris. Cette nouvelle réjouit les habitants des quartiers périphériques, qui auront eux aussi, la joie de se payer autre chose qu’un tour en bus, pour une somme, cette fois, annoncée modique.  


vendredi 16 octobre 2015

Brigitte Lamy reconnaît qu'elle n'était pas dans un bon jour quand elle a lu l'article de Jean-Jacques Reboux.


La nouvelle la plus marquante dans cette affaire, c'est que Brigitte Lamy, procureur de la République à Nantes, lit les blogs. A moins qu'on ne lui ait montré, mais dans ce cas, la question est : qui est "on"?

Dans son article, J.-J. Reboux fustigeait madame la Procureure après sa décision de classer l'affaire des tirs de Flash-Ball qui avait coûté un œil, et pas qu'aux contribuables ! Ne pouvant établir la faute de la police, pourtant interdite de viser au visage les manifestants. Alors, une deuxième question : qui est le petit malin qui se balade avec une telle arme dans Nantes. 

Croisée par hasard dans la rue par un temoin qui a preferé rester anonyme (et les sources journalistiques, c'est sacré. Pour l'instant), madame Lamy lui a confié qu'elle n'était pas dans un bon jour quand elle a porté plainte contre l'auteur. "Les gens qui me connaissent savent que j'ai de l'humour", aurait-elle déclaré. Car avant d'être procureur, c'est avant tout un humain, avec ses doutes, ses faiblesses, ses coups de sang. 

De là à retirer sa plainte, il en faudra sûrement un peu plus, car la situation s'est envenimée depuis que nombre de personnes et d'associations ont relayé l'affaire. Et puis, c'est le week-end, alors ça attendra...


mardi 13 octobre 2015

Malaise chez les DRH nantaises, elles arrachent la chemise du représentant syndical.



Excédées de devoir appliquer des mesures violentes de licenciements massifs pour répondre aux exigences de rentabilité à tout prix, les employées de cette société nantaise de conseil aux entreprises prennent les choses en main.

Comme leurs collègues masculins, elles sont un fusible bien pratique, et ce sont elles que l’on envoie au casse-pipe, annoncer la mauvaise nouvelle aux salariés de différents secteurs. Même quand ce n’est pas à elles de faire les choix stratégiques en matière d’embauche ou de licenciement.

Le malaise est de plus en plus grand dans la profession. « Au début, on croyait qu’on œuvrait pour le bien des entreprises, et puis, plus ça va et plus on se rend compte qu’on fait un métier de merde », nous a déclaré l’une d’entre elles.

Alors, en signe de protestation, elles donnent rendez-vous aux délégués syndicaux isolément, et tard dans la nuit, pour leur arracher la chemise. Et le reste aussi. Une bien belle initiative, dont on espère qu’elle ne leur vaudra pas une garde-à-vue.  


lundi 12 octobre 2015

Il finance son année sabbatique grâce aux dons d’inconnus.



Ils sont nombreux les projets culturels, solidaires, ou même d’entreprises, à faire appel au financement participatif. Ce nouveau moyen de financement, qui permet de shunter la production habituelle et les recherches de mécénat, s’appuie sur un principe simple : L’appel aux dons.

C’est ainsi que ce nantais de 38 ans, qui n’a aucune idée originale, aucun projet de vie et même pas l’ombre d’une fibre entrepreneuriale, a réussi a se faire payer un an « à rien foutre », comme l’annonce la page KissKissBankBank qu’il a créé pour récolter les dons.

L’idée a plu à plus de 150 donateurs, et l’objectif de collecte a même été largement dépassé. Nul doute qu’il saura utiliser cet argent à bon escient, en n’en faisant rien. Ou bien si, profiter de la vie, se dégager du stress ordinaire qui mine le travailleur endetté, et régler ses factures sans se soucier du moyen de le faire.

Il n’a pas prévu de voyage extraordinaire, ni même de se former à quelque métier que ce soit. Il faut dire que la somme collectée, si elle paraît impressionnante, permet tout juste de vivre normalement pendant un an, en payant tout ce qu’il y a à payer. Alors, si vous aussi, vous rêvez de ne « rien foutre pendant un an », allez donc voir comment il s’y est pris, et qui sait, ça fonctionnera peut-être aussi pour vous !

lundi 5 octobre 2015

Médias : Ces célébrités qui piègent Yann-Arthus Bertrand dans son film Human.



Près de la moitié du quart des téléspectateurs ont récemment vu le dernier film de Yann Arthus Bertrand : Human. Un florilège de témoignages récoltés dans divers pays, tout aussi dégoulinant de sensiblerie que de vérités sur la nature humaine.

En dehors du décryptage médiatique qui pourrait être fait. La vision universaliste de YAB (Yann Arthus Bertrand, mais c’est fastidieux à réécrire et faire un copier-coller, on trouve que c’est insultant pour le lecteur !), la force de l’histoire individuelle pour expliquer l’Histoire avec un grand H, etc. Nous avons noté une chose qui est passée inaperçue : La manière dont YAB a été piégé par des célébrités du monde entier…

Ils sont nombreux et vous les reconnaitrez peut-être en regardant à nouveau le film en Replay, mais nous avons relevé pour vous les plus étonnants. A commencer par celle qui sera peut-être la première Présidente des Etats-Unis, et à qui il a suffit de se présenter sans maquillage pour passer incognito. L’étonnante prestation du présentateur télé Cyrille Hanouna. Ou encore l’incroyable performance de Marie-Anne Chazel, qui n’avait pas été aussi bonne depuis Le Père Noël est une ordure, dans le rôle de Zézette.  

dimanche 4 octobre 2015

Découvrez comment cette blogueuse nantaise affole la toile américaine avec rien !



Internet et les réseaux sociaux sont incroyables, saisissant ! Ils nous happent, ils nous catchent, ils nous patratraquent. Et c’est ce que révèle l’histoire de cette jeune blogueuse nantaise.

Elle ne s’attendait pas à ça, et nous nous plus d’ailleurs. Depuis plusieurs mois, elle tient un blog très sérieux, où, du haut de ses grandes études, elle décrypte à sa manière les médias, la géopolitique, et parfois même la mode et le sport. Et puis, elle en a marre. Ses lecteurs sont moins nombreux que les membres de sa famille, elle est sur la paille, et c’est là que tout bascule…

Les réseaux américains se déchainent, relient à tout rompre son dernier article, elle est invitée dans tous les talk-shows prestigieux. Comment ?! C’est simple, ils ont tous fait ce que nous faisons chaque jour, et que vous venez de faire là : croire une belle histoire.

Parce qu’il faut bien le dire, dans son article, pour une fois, il n’y avait rien. Pas plus que dans celui-ci en fait. Mais quand-même, quel plaisir d’y avoir cru, d’avoir fantasmé une fraction de seconde sur un destin extraordinaire qui s’annonce comme par magie. Alors offrez ce petit moment à vos amis, et partagez cette histoire… 

Et pour vraiment voir ce qu'elle a posté, cliquez là !