Le sujet avait été mis sur la table par l’extrême droite à l’époque de la dernière campagne présidentielle, les premières sanctions tombent en ce moment. Au nom de la laïcité, il est désormais impossible de renouveler ces prières de rue.
La
première à en faire les frais, c’est la paroisse de Saint-Clément. Coutumière
du fait, elle propose régulièrement à ses paroissiens de se retrouver sur le
parvis de l’église afin d’invoquer Dieu et de revendiquer la fin de l’avortement.
Ce
trouble à l’ordre public nécessite à chaque fois la mobilisation des forces de
police et de gendarmerie, au frais du contribuable. Ils devront, à partir de
maintenant, prendre ces frais à leur charge. La condamnation stipule également,
que la messe ne devra plus être en latin, afin que les services compétents
puissent la comprendre, et attester qu’aucun message illégal ne soit encore
proféré.
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